lundi 21 janvier 2008

Mickey perd la boule

Certains se souviennent peut être de ce petit dessin animé qui précédait la projection du médiocre Dingo et Max.
Mickey se voit obliger de chercher du travail pour offrir à Minnie le voyage de ses rêves... mais rien ne sera facile.



Cette petite merveille est d'une rare qualité. Ambiance électrique, nerveux, cadrages et plans
grandioses... En plus il est bourré de référence à de nombreux films et autres. C'est un plaisir de voir Mickey (personnage insipide) confronté à une ambiance de film de science fiction et à des scènes d'actions très hollywoodienne.
Mais voila ce film à maintenant 13 ans, et sachez le, cela fait plusieurs années que disney a fermé son département animation traditionnel pou se consacrer au l'animation par ordinateur, notamment avec les Studios Pixar. Avant Runaway Brain les Studios disney n'avait plus produit de courts métrages animés depuis plusieurs décénnies !Dites vous que nous ne sommes pas prêt de revoir de nouveaux dessins animés disney comme ceux de notre enfance.

En bonus, un AMV pas trop mal :


Références :
  • Julius (interprété par Pat Hibulaire) a une jambe de bois. En effet à ces tous débuts Pat avait une jambe de bois... et s'appelait Jean Bamboi !
  • Quand Mickey se rend à son offre d'emploi... la scène de nuit ne vous rappelle pas l'Exorciste ?
  • Julius et Minnie font le remake de King Kong en atteignant le haut d'un building.
  • Mickey à dans son portefeuille une photo de Steamboat Willy
  • Mickey Terrasse Julius de la même manière que le géant dans Le vaillant petit tailleur.
  • Le savant fou est nommé en hommage à 2 grands animateurs présents dans la maison depuis les années 30. En effet, les acolytes Frank Thomas et Ollie Johnston ont donné leur nom au professeur fou de ce dessin-animé : Frankenollie (Frank and Ollie).
  • Si vous trouvez d'autre références signalez le moi.

mardi 15 janvier 2008

Fermeture provisoire

Suite au décès de mon grand oncle, accompagné d'une déception sentimentale difficile à digérer, le tout saupoudré d'une bonne quantité de boulot ; j'ai décidé d'adopter la technique de l'huître.
Donc pas de mise à jour pour une durée indéterminé.


Merci de votre compréhension,
La direction d'Impitoyable.

Une vidéo de circonstance.
Trevor Childs - Deathwish

jeudi 10 janvier 2008

Comment j'ai appris à ne plus m'en faire et à aimer la bombe

Dr Folamour (Dr. Strangelove or: How I Learned to Stop Worrying and Love the Bomb)Film de 64, ce bijou d'humour noir est une oeuvre de l'immortel Stanley Kubrick. Peter Sellers (panthère Rose) y incarne 3 rôles !.

En pleine Guerre froide. Le général américain Jack D. Ripper, frappé de folie paranoïaque, décide d’envoyer des bombardiers B-52 frapper l’URSS ; en effet d'après ce dernier les communistes veulent s'en prendre aux fluides corporels du peuple américain. Le président des Etats-unis commande une réunion d'urgence dans la salle de guerre souterraine pour tenter d'éviter une Guerre nucléaire avec l'aide de l'URSS

Un débat s’engage alors entre les tenants des différentes options politiques et militaires qui s’offrent au président. Le président, l'émissaire russe, le général Turgidson et le docteur Folamour tentent de résoudre la situation. Si une des bombes américaine frappe l'URSS, la machine infernale, entrera en action, anéantissant toute forme de vie sur terre.

Ce film, comme bon nombre de ceux de Kubrick est bien encré dans le présent. Vieux de 40 ans, la situation n'a guère évoluer depuis la crise de la baie des cochons et nous sommes toujours a la merci qu'un imbécile appuie sur le mauvais bouton.

Les personnages sont pour la plupart des caricatures de personnages ayant existé et leur dialogue des reprises de théorie fumeuse énoncés pendant les heures sombre de notre histoire : les solutions proposées par le Dr Folamour, le discour du Général Jack Ripper, le comportement stupide de la plupart des protagonistes...

On nous rappelle dans ce film les conséquences dramatique que peuvent engendrer la vanité, la peur de l'autre et le jusqu'au boutisme.

Doit on voir dans, dans la scène finale avant la catastrophe, dans les pas "miraculeux" qu'effectue le Docteur Folamour un signe que le nazisme pourrait alors reprendre pied ?

Un film a voir absolument.

Bande annonce :


Scène Finale :

Dr Folamour : Messieurs, j'ai un plan... Mon Fuhrer !... Je marche !


samedi 5 janvier 2008

Best of kiss cool 1

Un p'tit best-of pub, ça faisait longtemps.

Aujourd'hui les pubs kiss cool avec les bêbêtes rigolotes et moches.

jeudi 3 janvier 2008

La malédiction du supplément

La période des fêtes (et des vacances en général) c'est le moment de retrouver ses amis, d'aller au resto, au bar, au bowling... non pas le bowling en fait. Bref de passer un bon moment autour d'un verre (alcoolisé ou non)

Aujourd'hui je vais vous parler du Bar le régent à Mantes.

Jouissant d'une bonne réputation, le bar est bien situé à proximité du cinéma CGR et sur le boulevard du Maréchal Juin. Le cadre est agréable, la décoration sympa et l'ambiance feutré appréciable.
Et comme souvent la première impression est la mauvaise.

Accompagné d'amis nous prenons place. La musique n'est pas de la techno, du rap ou du RNB. A mes yeux c'est un bon point.
Le serveur arrive rapidement est prend notre commande. Moi qui apprécie la caféine le soir j’apprends qu'il n'y a plus de café. Je me rabats sur un Orangina. Nous demandons également une carafe d'eau. Pas de carafe d'eau... Un verre d'eau alors ?
Le serveur disparait et nous patientons. Nous découvrons alors que le volume sonore de la musique augmente brusquement mais surement.
Le garçon revient avec nos consommation et la note, nous lui redemandons au passage le verre d'eau pour notre ami assoiffé ... et la ça commence à être gonflant. Nous avons prit place dans le bar vers 21h50 et avons été servit 22h. Alors qu'elle n'est pas notre stupeur de découvrir le supplément de 22h15, 50 centime de plus par consommation.
Pensant qu'il s'agit d'une erreur nous payons le prix des boissons sans appliquer le supplément. Evidemment quand le garçon revient il n'a toujours pas d'eau et nous réclame à corps et à cri de payer le supplément. Nous objectons que le supplément est à 22h15 et que le magnifique écran plat qui domine la salle (nous dégueulant des images de RNB et autre soupe visqueuse aux images stéréotypés) affiche un magnifique 22h00 tout rond ; « c’est l’heure affiché par la caisse qui compte ». Signalons d'ailleurs que la musique diffusée à grand bruit n'a rien à voir avec les images projeté à la TV.

Comprenant que nous ne tirerons rien de cet individu nous le payons de mauvaise grâce d'un billet et alors qu’il repars chercher notre monnaie nous lui réclamons à nouveau de l'eau.
Nous buvons nos consommations et beuglons des railleries sur le fameux supplément de 22h15 (attention nous beuglons juste parce que la musque est devenu à ce moment la assourdissante). Finalement nous quittons l'établissement avec une baisse de l'acuité auditive, le sentiment de nous être fait proprement arnaquer et sans le verre d'eau.

Si j'étais mauvaise langue je dirais que comme à partir de 21h45 le supplément de 22h15 s'applique ils mettent le volume fort pour masquer les protestations des clients. Je salue au passage le groupe arrivé avant nous et qui a eu l’intelligence de partir avant nous.

Conclusion :
Le régent allez y le matin de bonne heure, munie de boule quiès et d'une gourde (ou de votre copine mais à vos risque et périls).

mercredi 2 janvier 2008

Necrologie 2007

On ne les pleurera certes pas tous, mais il est toujours bon de se souvenirs des gens qui ont marqués leur époque (et parfois la notre) et par la même de nous apporter un peu de culture générale.
Nous ont quittés en 2007 :

L'Abbé Pierre
Alex le Perroquet
George Aminel (voix de Dark Vador)
Lucie Aubrac
Heinz Barth (Nazi)
Maurice Béjart
Ingmar Bergman
Jean Pierre Cassel
Fred Chichin
Yvan Delporte
Bob Denard
Boris Eltsine
Leroy Jenkins (pas celui de WoW)
Deborah Kerr
Gregory Lemarchal
Monseigneur Lustiger
Le Mime Marceau
Jacques Martin
Colin McRae
Maurice Papon
Luciano Pavarotti
Michel Serrault
Anna Nicole Smith